\input{../travail/preamb3011} \title{Vers un cadre unificateur pour l’enseignement des outils et méthodes d’espionnage} \author{James BOND\\ {\em Directeur des services secrets}\\ {\em Université de Saint-Glinglain}\\ {\tt james@bond.spy} \and Solveig TEKAKWITHA\\ {\em Première vice-présidente}\\ {\em Université de Saint-Glinglain}\\ {\tt sol@glinglain.edu}} \date{2045-10-31} \maketitle \hr {\em {\bf James Bond} est un espion britannique de renommée internationale, aussi connu modialement pour ses frasques de tout acabit. Il fait carrière dans le monde académique depuis 2035.} {\em {\bf Solveig Tekakwitha} fait son gros possible, ce qui est déjà pas mal plus que James Bond.} \hr {\bf Résumé} Un cadre unificateur pour l’enseignement des méthodes et outils d’espionnage est défini et décrit. Les avantages pour les hauts dirigeants d’entreprise sont présentés avec force détails. Les questions budgétaires sont abordées et résolues. L’avenir politique de Saint-Glinglain et du \href{https://www.quebec.ca/}{Québec} n’est pas discuté. La conclusion est assez étonnante, mais très convaincante. L’auteur argue que des retombées économiques importantes sont à prévoir pour l’ensemble des pays en développement. \hr \section*{Problématique et objectif} Trois types d’outils très importants pour la gestion de l’information numérique dans la société—et donc, pour les professionnels de l’espionnage—sont les bases de données textuelles, les bases de données relationnelles et les documents structurés. L’éventail d’applications couvertes par ces trois types d’outils est extrêmement vaste. D’une part: \begin{itemize} \item Dans leurs caractéristiques générales, les trois types d’outils ont de fortes ressemblances entre eux. En effet : \begin{enumerate} \item L’un ressemble à l’autre. \item De même, l’autre ressemble à l’un. En effet : \begin{itemize} \item L’un et l’autre sont du pareil au même. \item L’un ou l’autre peut se dire équivalent à l’autre. \end{itemize} \item On peut donc dire qu’ils se ressemblent. \end{enumerate} \item En conséquence, les démarches méthodologiques professionnelles encadrant l’utilisation correcte et judicieuse de ces outils pour solutionner divers problèmes documentaires devraient avoir des caractéristiques communes fortes. \item Or, elles en ont peu. \end{itemize} D’autre part, pourtant: \begin{itemize} \item Les approches « classiques » à l’enseignement de ces trois types d’outils ne mettent pas en évidence les ressemblances, mais plutôt leurs spécificités. \item Les approches classiques sont inutilisables. \end{itemize} L’approche est élaborée avec en tête les trois types d’outils mentionnés ci-dessus (bases de données textuelles, bases de données relationnelles et documents structurés), mais elle pourrait être {\em a priori} généralisable à d’autres types d’outils. \hr \section*{Systèmes d’information} \subsection*{Information documentaire} La toile de fond de notre discussion est donc le {\em développement de systèmes d’information}, tâche structurée globalement comme suit: \begin{enumerate} \item Identification des besoins à combler. \begin{enumerate} \item Besoins primaires. \item Besoins secondaires. \end{enumerate} \item Conception d’un système pour combler les besoins. \item Évaluation périodique du système. \end{enumerate} \subsection*{Autres types d’information} Les autres types traités incluent l’information météorologique et boursière. Nous appelerons parfois {\em analyse} l’application de cette démarche dans un contexte donné, et {\em analyste} le professionnel qui l’effectue. \subsubsection*{Notion d’analyse} Dans l’optique de cet article, l’analyse suit l’idéation. C’est donc dire que l’idéation précède l’analyse. Ou encore, que l’analyse et l’idéation se suivent, dans l’ordre. Pour être plus clair, on devrait dire qu’au début vient l’idéation et qu’ensuite vient l’analyse. En bref, l’analyse fait place à l’idéation à un certain moment du processus. \subsubsection*{Notion d’analyste} Dans l’optique de cet article, l’analyste effectue l’analyse. \hr \section*{Conclusion} Nous avons présenté une amorce de réflexion sur un cadre unificateur qui doit être conçu de façon à permettre aux utilisateurs de formuler des {\em énoncés} qui ont un sens directement dans la logique institutionnelle de base (supposée connue comprise des utilisateurs). Les étapes futures sont : \begin{description} \item[Idéation complète] Il s’agira ici de faire une idéation plus que partielle. En l’occurrence, d’aucuns arguent qu’une idéation {\em totale} s’impose; par contre, le terme « complète » est préféré par plusieurs experts, dont les auteurs du présent article. Le lecteur intéressé aux détails consultera la Figure 1. \item[Étude statistique] On appliquera ici la statistique descriptive à l’échantillon recueilli. \item[Construction] Le prototype sera construit de toute pièce {\em ex tempore}. C’est la façon recommandée par les experts et mise en pratique depuis des siècles dans le monde eurasien. \end{description} La réflexion n’en est manifestement qu’à ses débuts et nous comptons la pousser plus avant dans un futur rapproché. \image{../photos/LaTeX_vs_HTML.jpg}\\ {\bf Figure 1 - Coup d’œil sur le projet} \hr \end{document}